» les randonnées  » à intégrer au site de la commune.     La commune de Sanilhac entre dans l’ensemble des « balades et randonnées » qui se situent en territoire de la communauté de communes (CDC) du Val de Ligne, intégrée au Bas Vivarais et qui font l’objet d’un « topo-guide » que chacun peut se procurer dans les offices de tourisme de Largentière et de Joyeuse. Il s’agit d’un document qui vous propose 18 circuits répartis sur les 11 communes. Il y a donc un très grand choix qui s’étend sur une bonne partie du piémont vivarois, très vallonné, parfois sauvage, et particulièrement fréquenté au titre du tourisme vert. Et si vous limitez votre séjour à la petite commune de Sanilhac, vous bénéficierez des deux circuits les plus importants passant : – L’un par « la Tour de Brison » très connue pour sa situation géographique remarquable (ou point haut sur l’itinéraire du GR4 au débouché du massif du Tanargue et dominant 8 départements) mais aussi pour son histoire ( tour médiévale restructurée et utilisée comme vigie contre les incendies) et sa légende (celle du diable).   – Le second pour ses circuits internes à la commune ou « circuits des hameaux » qui, d’une calade à l’autre, d’un chemin rural à l’autre et à travers vigne, vous permettra, quel que soit l’endroit, d’être toujours en itinéraire d’encorbellement et à vue des rivières Ardèche, Beaume et Drobie. Vous y rencontrerez diverses constructions (toutes anciennes – dont l’une est le château de Versas – propriété privée, mais aussi fleuron du département dont le donjon est classé) qui font partie du patrimoine local. Ce topo-guide vous donnera toutes indications nécessaires en matière de distances et de dénivelées, à l’image de la signalétique particulièrement fournie sur le terrain et toutes recommandations et précautions à prendre en matière de protection de l’environnement, respect des propriétés privées, lutte contre le feu, etc… Si le département de l’Ardèche est connu pour son tourisme vert en plein développement, les petites communes rurales en sont les plus représentatives compte tenu de leur situation privilégiée hors secteur d’urbanisation dense. Ajoutons que les groupes de marche et/ou associations de randonneurs ne se comptent plus sur le territoire, tant ils sont nombreux.